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Ce qu'il pensent du livre

Anthony Poncier (consultant en management 2.0) : "ce livre m’a beaucoup plu et je vous conseille de le lire si le sujet du management de l’information vous intéresse."

Bertrand Duperrin (consultant en management 2.0) : "on trouvera ici de quoi comprendre les enjeux, l’état de l’art et  se projeter vers le futur en maitrisant les fondamentaux."

Marc de Fouchecour (professeur aux Arts et Métiers ParisTech et consultant management 2.0) : "Je croyais bien connaître ces paysages souvent visités par de nombreux livres, articles, outils et méthodes, mais le regard de l'auteur les a éclairés différemment." (extrait de la préface)

Olivier Zara (consultant spécialisé en personal branding et réseaux sociaux) : "Christophe Deschamps (...) m’a fait découvrir l’univers de la réputation numérique en février 2006. Il fait une veille remarquable dans l’univers de la gestion des connaissances, mais il est aussi pour moi une source d’inspiration. Je vous recommande la lecture de son livre avec une préface de Marc de Fouchécour."

Jérôme Bondu : Jérôme Bondu (créateur de la société de conseil en veille Inter-Ligere) : "Christophe a écrit un livre dense et riche de réflexions. Il met en œuvre son talent d’analyste et de détecteur de tendance."

Pierre Mongin (auteur notamment du Petit manuel d'intelligence économique) : "A la lecture de son livre très documenté (...) l’auteur a véritablement incorporé les tendances, les astuces qui nous permettent chaque jour de bénéficier des nouveaux outils, de les choisir afin d’être des travailleurs du savoir bien dans leur peau. Il fait indéniablement gagner du temps à ses lecteurs sur le nécessaire recul que nous devons prendre pour renforcer notre efficacité personnelle et collective." 

Jean-Philippe Accart (consultant en management de l'information) :  "dans les bonnes résolutions de l'année 2010, ce livre est à lire en priorité."

Vincent Berthelot (consultant en accompagnement stratégique et gestion des médias sociaux) : "Son livre est un succès certainement par le choix du sujet, sa richesse et sa qualité rédactionnelle, alors si vous voulez comprendre les concepts de géneration Y, KM 2.0 d’entreprise 2.0 (…) je ne saurai que trop vous recommande cet ouvrage."

ADBS (organisation professionnelle) : "En détaillant finement chacun des besoins actuels, l'auteur (...) propose des solutions concrètes et applicables pour tous ceux qui manipulent l'information et utilisent les technologies de l'internet."

Ubifrance (Agence française pour le développement international des entreprises) :
"L'ouvrage offre des solutions concrètes, détaillées, applicables, à tous ceux qui manipulent l’information."

 Entreprise 2.0 - lu pour vous n° 1 : 30/11/09 au 05/12/09

  • crid
  • Samedi 05/12/2009
  • 15:44
  • Lu 4255 fois
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Vous trouverez toutes les semaines sur ce blog une rapide revue de presse des articles lus pendant la semaine
  • Quel meilleur moyen pour donner du sens, pour marquer les esprits, si ce n'est le storytelling. Quand vous êtes dans une communauté de pratique par exemple, vous transmettez un retour d'expérience, vous racontez une histoire

    • Et oui, cela se résume en une phrase que j’aime beaucoup :

       

      les hommes sont comme les lapins, ils s’attrapent par les oreilles

    • Tout d’abord transmettre une vision, c’est annoncer un futur. Or par définition le futur est non prédictible (au mieux on est dans le cadre de la prospective). Votre histoire est donc un imaginaire qui doit être de l’ordre du possible. C’est un lien entre le présent et ce futur souhaité. C’est une forme de raccourci vers un futur déjà présent ou en passe d’être réalisé.
    • Ainsi, expliquer synthétiquement votre vision du collaboratif oui, expliquer tous les processus non. Vous donner une vision, vous ne déroulez pas une roadmap. Le collaboratif c’est simple, donc faites simple :évitez tout de même les clichés pour synthétiser votre vision.
    • Un retour d’expérience d’une entreprise ayant plus ou moins les mêmes caractéristiques et ayant mis en place du collaboratif, va montrer à vos collaborateurs que votre vision n’est pas impossible à réaliser.
    • Il ne s’agit pas de remettre en question votre vision, mais de permettre à vos collaborateurs de s’approprier cette vision et cette histoire.Enfin, dans une histoire il y a une part de rêve, ne soyez pas réducteur. Voyez grand, innovez et sortez des cadres de pensée classique (out the box). Commencer par une petite réalisation n’empêche pas de voir grand, au contraire.

  • Plusieurs articles autour du KM et de l'entreprise 2.0

  • via @fdomon

  • Retour sur une interview d'Andrew McAfee

    • Il y a une véritable conduite du changement à mener et tout ne peut pas changer en un jour. Il s’agit de trouver vos champions qui vont apporter leur énergie au projet et vous aider à faire changer les choses.
    • Même s’il ne faut pas sous-estimer le potentiel d’une expérience lancé dans un service ou une direction et qui finit par faire tâche d’huile dans l’ensemble de l’entreprise. Mais dans ce cas encore, cet élargissement n’a été possible que par l’intermédiaire d’un sponsor haut placé qui a été convaincu par le projet. De fait, plutôt qu’opposer top-down et bottom-up autant trouver comment ces initiatives vont se compléter afin de donner de meilleurs résultats et produire des « guidelines » concrètes.
    • l faut un accompagnement et ce ne sont pas les outils qui sont déterminants, mais les modes de management qui y sont liés. Il faut laisser le temps aux collaborateurs de comprendre ce qu’on attend d’eux et qu’ils identifient les gains potentiels pour eux. Le deuxième point est la frilosité et le refus de prendre un petit risque pour introduire ces nouveaux modes de fonctionnement.
    • Des exemples comme ceux de Lockheed Martin, une société mondiale dans le secteur de l’aérospatiale et de la défense, montrent que malgré tout on peut basculer vers l’entreprise 2.0 (pourtant la question de la sécurité et du secret est au coeur de son business model). Ils ont eu la garantie qu’en cas de problème il pourrait identifier d’où cela proviendrait (pour le moment cela n’a jamais été le cas).
    • Il conclue enfin sur la question récurrente du ROI. Il ne s’agit pas de mesurer de nouveaux process avec d’anciennes recettes. Il s’agit plutôt d’identifier ses besoins et enjeux et voir si ces technologies peuvent y répondre.
  • via @fbrahimi

    • Ainsi, l'enquête révèle que « près d'un dirigeant de PME sur 5 (19%) utilise déjà les réseaux sociaux généralistes (Facebook, Ziki) ou professionnels (Viadeo, LinkedIn) pour promouvoir son activité, de manière régulière ou plus épisodique. Ils sont même 12% à avoir créé un blog pour parler de leur activité. »
    • L'usage des réseaux sociaux par ces patrons de PME n'est pas encore conversationnel, comme le prône Luc Bretones, spécialiste du Web 2.0 professionnel, mais consacré au marketing et à la veille : « Parmi les usages les plus courants : promouvoir son activité (40%) et détecter des innovations intéressantes (47%). D'autres champs d'expérience sont explorés, en particulier suivre l'actualité de ses marchés (38%) et suivre l'actualité de la concurrence (36%). »
    • « D'autres domaines sont toutefois explorés, de manière opportuniste ou expérimentale : trouver des prospects (36%), trouver des partenaires commerciaux ou financiers (36%), mais aussi animation d'une communauté d'utilisateurs ou de clients (23%) et recrutement car 21% des dirigeants de PME cherchent des profils intéressants sur les réseaux professionnels. »
    • L'étude conclut toutefois qu'il n'y a pas encore de répercussions strictement commerciales des médias sociaux : « 93% des dirigeants interrogés déclarent ne pas avoir obtenu de résultats probants dans ce domaine. »
    • « 92% des dirigeants de PME ne peuvent se passer d'Internet », et que « acheter (57%) et vendre (31%) sur Internet est une réalité pour les dirigeants de PME ».
    • « Les raisons pour lesquelles Internet n'est pas encore utilisé dans tout son potentiel sont essentiellement liées à un manque de compétences et de temps en interne pour s'y consacrer. »
  • Par Bertrand Duperrin

    • Postulat de départ : l’entreprise 2.0 permet de mieux échanger, partager, créer des synergies entre les collaborateurs peu importe leur place et le rôle dans l’entreprise (voire hors de l’entreprise).
    • A priori c’est sur cet axe qu’aurait du porter l’implémentation de tout projet de type entreprise 2.0. Malheureusement ça ne fut que rarement le cas.
    • Plutot que de “socialiser” quelque chose de concret, de réel, on a donc essayé de mettre en place des projets hors de ce quotidien afin d’amener les collaborateurs à faire évoluer leurs pratiques. On a donc créé des projets “dans les nuages”, entendons par là éloignés du quotidien mentionné plus haut (rien à voir avec le cloud computing) afin de créer le terrain de développement de nouvelles pratiques sans affecter le quotidien, en déconnexion totale avec le travail des collaborateurs, leur fiche de poste, leurs évaluations et ce que leur demandait leur manager.
    • Heureusement beaucoup ont tiré les conclusions qui s’imposaient :
    • - les activités “dans les nuages” ont du sens pour certains sujets à condition de prendre en compte le fait qu’il faille savoir réintégrer le fruit de leur production dans l’activité de l’entreprise et que la participation restera optionnelle pour ses membres.
    • - le vrai axe de gain opérationnel se situe sur la partie basse du schéma à condition de mettre en place une routine sociale et d’oublier ici le community management au profit du management socio-collaboratif.
    • - il faut enfin mettre en place des ponts entre les deux : les activités structurées peuvent avoir besoin de solliciter une communauté pour innover, trouver des réponses introuvables dans leur propre périmètre… De la même manière lorsque quelque chose de pertinent apparait dans une communauté il faut savoir le faire redescendre dans les process pour en tirer parti.
  • "As Einstein said, "We can't solve problems by using the same kind of thinking we used when we created them.""

    • What will the next version of the knowledge worker look like? What are the skills that IT professionals need to succeed right now and in the years to come?
    • what makes you an invaluable employee or contractor is your ability to understand how to solve problems that beset the business.
    • If you can be seen as a leader who knows how to build upon the ideas of others and create superior solutions because you know how to capture the best from a human system (that is, your team), you will be poised to rise above those who are focused solely on their individual contributions.
    • But if you hope to succeed without good communications skills, you need to hear this painful truth: Communication is not enough. You have to over-communicate.
    • You have a lot of information to convey, and if you want your message to get through, you have to keep it simple, make it clear and repeat it often.
    • Don't accept as sacred what you knew yesterday. Instead open up to all the new possibilities that you may not know of today.
    • Look at both your work and who you are as projects that are always in motion and never quite finished.
  • Toujours bon de s'en souvenir (par @duperrin)

    • l’entreprise 2.0 doit apprendre le langage de l’entreprise, et pas l’inverse
    • le terme est connoté et rebute des managers qui sont en recherche d’efficacité opérationnelle et non d’échange de savoirs.
    • l’entreprise est plus à l’aise avec les règles qu’elle édicte qu’avec celles qui sont adoptées, avec ce qui est formalisé qu’avec ce qui n’est pas, avec ce qui dépend plus d’elle que du bon vouloir des collaborateurs. L’entreprise a des pratiques, voire des process, elle peut valoriser certains comportements, mais ne comprend ce que des usages viennent faire dans son quotidien.
    • allez expliquer à un manager qui, depuis des années, fait tout pour réduire la perte de temps et de productivité due aux bavardages, qu’il faut désormais que ses équipes discutent, conversent et, pire encore, que son rôle est de stimuler le tout, et regardez son faciès se décomposer peu à peu.
    • Quel pourcentage de la population sait que le web 2.0 existe ? Et est capable d’expliquer ce que c’est au delà d’un terme entendu au journal télévisé ou à la radio ?
    • N’oublions pas que 1.0 ou 2.0, chacun garde ses objectifs, sa fonction.
    • Dans un contexte de travail on a de l’information…le “contenu” c’est ce qu’on met pour occuper l’espace, pour faire joli. C’est peut être intéressant, mais pas opérationnel.
    • habitués que nous sommes à être entre personnes “qui comprennent”, avec une forte culture web, nous oublions que les mots que nous utilisons ont une connotation pour ceux à qui nous parlons. Et au final le message qu’ils comprennent, la manière dont ils le visualisent, est aux antipodes de ce que nous voulions dire.
  • via @blueboat

  • Présentation par Jon Husband et Steve Barth.

  • L'innovation d'est pas forcément l'Innovation

    • In reality, the vast majority of real-life entrepreneurs around the world aren't innovators. They're minnovators — mixing small parts of novelty and creativity with huge helpings of flexibility scrappiness and a generous portion of hard-driving execution
    • More often than not you need that little twist on an existing idea, the tweak of the business model, the minor product adaptation, or even just the ability to put together and lead a fantastic team that is supremely resourceful in overcoming obstacles and driving the tweaked idea to market.
    • If it did, Robert Wessman forgot to read the obituaries, because he is one of the generics industry's great minnovators, building Reykjavik-based Actavis in eight years from a standing start to fifth in the industry, and creating over two billion euros in shareholder value. His minnovation was first and foremost conceptual in nature: he realized that to survive as a generics player, Actavis had no choice but to be big, diversified and global, with globally dispersed, large-scale manufacturing coupled with clusters of focused R&D, all serving an increasing number of markets around the world.
  • Intéressant.

  • L'histoire du KM sous forme de timeline. Beaucoup à ajouter depuis 2000...

  • Classification des medias sociaux utilisés dans un objectif d'apprentissage. Par Jane Hart.

     


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